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Banques en crise, la planète finance vacille | Géopolitis

Credit history Suisse appartenait à ces banques labellisées “as well huge to fall short”, trop grandes put tomber. A l’instar de JPMorgan Chase, Bank of China ou HSBC, la banque suisse faisait partie de ces 30 banques mastodontes, tellement imbriquées dans l’économie mondiale, que les conséquences de leur faillite seraient si désastreuses qu’elles menaceraient promote le système sponsor.

” Rien n’est as well large to fall short”, rétorque Myret Zaki. La journaliste économique dénonce les dérives du système actuel: “Si on choisit un système libéral, la prise de risque est proportionnelle à la perte. Il ne faut essayer de contourner cela.”

La journaliste économique dénonce les dérives du système actuel: “Si on choisit un système libéral, la prise de risque est proportionnelle à la perte. Toute votre civilisation décline à reason de cette mauvaise appropriation des ressources de l’Etat et des financial resources publiques.”

Au sommaire:
00:00 Peur sur les banques
01:40 Banques et money mondiale en crise
05:21 Myret Zaki: “Laisser une banque faire faillite, c’est une piqûre qui immunise définitivement”
11:32 L’endettement des Etats repart à la hausse
13:51 Myret Zaki: “Les Etats sont aujourd’ hui surendettés à reason des sauvetages qu’ils ont dû faire en 2008”
20:18 Le Salvador avait misé sur le Bitcoin put sortir de l’endettement
23:15 En 2008, la crise des subprimes satisfied le monde de la financing à genoux

L’alternative du sauvetage the same level les autorités représente selon elle un mauvais calcul à lengthy terme: “Si vous sauvez, eh bien, vous devez sauver proclaim le temperatures et vous ruinez votre système. Toute votre civilisation décline à reason de cette mauvaise allowance des ressources de l’Etat et des funds publiques.”

En mars, le mariage forcé de Credit Suisse avec UBS a été organisé à la hâte, avec le soutien du Conseil fédéral et l’aide de la Banque nationale suisse (BNS), put “préserver la stabilité financière et protéger l’économie”. Le Conseil nationwide a symboliquement refusé de valider les garanties fédérales dans le rachat de Credit Suisse. Le gouvernement et les cadres de Credit Suisse ont dû essuyer une avalanche de reviews ces dernières semaines, à gauche, comme à droite.

Invitée: Myret Zaki, journaliste économique
Présentation: Jean-Philippe Schaller

Après le rachat de Credit report Suisse et la faillite de trois banques américaines, le monde sponsor et bancaire doit à nouveau affronter une crise de confiance. Des soubresauts qui questionnent un système où l’argent public est garant du sauvetage de banques privées.

Depuis la crise financière de 2008, les banques ont dû se plier à de nouvelles exigences, comme la constraint des activités spéculatives, la guidance des grandes banques the same level les banques centrales ou la hausse des fonds propres et des liquidités. Si les Européens se félicitent des garde-fous mis en area dans la area euro, la Réserve fédérale américaine (FED) s’ est dit prête à “identifier où renforcer la guidance et la régulation”.

En Suisse, un container rouge a en tout cas été adressé the same level le Parlement. Le Conseil nationwide a symboliquement refusé de valider les garanties fédérales dans le rachat de Credit Suisse. Le gouvernement et les cadres de Credit Suisse ont dû essuyer une avalanche de reviews ces dernières semaines, à gauche, comme à droite.

Le website de Géopolitis: http://geopolitis.ch
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En mars, le mariage forcé de Credit Suisse avec UBS a été organisé à la hâte, avec le soutien du Conseil fédéral et l’aide de la Banque nationale suisse (BNS), put “préserver la stabilité financière et protéger l’économie”. Au overall, 259 milliards de francs suisses ont été engagés dans le processus. Cars and truck l’objectif est bien d’éviter la virus et de voir les banques s’ effondrer les unes après les autres.

La journaliste s’ inquiète particulièrement des potentielles répercussions sociales dynamites de ces stratégies politiques. On à plus n’arrive relever leurs salaires, on n’arrive plus à ajuster leur rente de retraite, on n’arrive plus à ajuster le taux very little du 2ème pilier, on n’arrive plus à ajuster l’aide sociale.